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ETI, grandir pour ne pas subir

En 2025, les ETI, entreprises de taille intermédiaire, continueront de livrer bataille, non pas pour le seul égo de leurs dirigeants, mais pour exister et se structurer, pour avoir le droit de vivre dans un marché mondialisé.
Entretien avec les deux co-présidents du club ETI Centre-VdL, Sylvain Bassaisteguy et Alexis de l’Espinay.

  • l’épicentre : Comment définit-on une ETI ?
  • Sylvain Bassaisteguy : Essentiellement par le nombre de leurs salariés, entre 250 et 5.000 et leur chiffre d’affaires, plus de 50 M€.
  • l’épicentre : En quoi est-ce important d’être une ETI ?
  • SB : Quand on est une PME, ce qui est intéressant c’est de se développer, de se structurer avec une équipe, jouer collectif et emmener avec soi un écosystème de fournisseurs et de clients. Voilà pour la part humaine !
  • Alexis de l’Espinay : Dans le contexte de mondialisation et de rationalisation, il est important de se structurer avec des services support, marketing, RH, compta ou juridique… pour continuer de grandir, jouer des coudes avec les grands groupes et ne pas subir. Il faut se maintenir dans un monde où tout s’achète, y compris les entreprises.

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