Partant du constat que le métier de coiffeuse est l’un des plus vieux qui soit, mais qu’il a peu évolué au fil du temps, Stéphanie a décidé de faire un pas de côté et de le transformer, à sa manière.
Elle a créé « Le salon qui bouge ».
- l’épicentre : En quoi ce salon est-il différent ?
- Stéphanie Boireau : Je ne me déplace jamais pour une seule personne. Mes clients s’inscrivent sur les créneaux disponibles dans les lieux où je viens. Je cible des événements où converge beaucoup de monde, comme des festivals, des rencontres de chefs d’entreprises ou les marchés de producteurs. J’interviens aussi dans les entreprises à la pause méridienne.
- l’épicentre : Vous êtes écoresponsable…
- SB : Oui, je travaille sans eau et je coupe les cheveux secs, en utilisant très peu de produits. Après avoir travaillé plus de 14 ans dans des salons de coiffure traditionnels, dont le mien, j’avais envie d’exercer plus sobrement. J’ai mis dans Le Salon qui bouge toutes mes valeurs personnelles, l’éco-responsabilité mais aussi l’inclusivité.
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